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[CONCOURS] "Histoire Smartphone" 1 Honor 7 et 1 Honor 4X à gagner


Honor

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Bonjour à toutes et à tous,

Avant de connaître l’essor des smartphones tout-en-un, c’est dans les années 90 que j’ai eu mon premier téléphone portable, un Nokia 6110 Caméléon (dans la grosse boite rouge des packs prépayés SFR de l’époque) :

 

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Caractéristiques :

  • Ecran : 5 lignes, monochrome
  • Dimensions : 130 x 47 x 28 mm
  • Poids : 137g
  • Batterie : Li-Ion 900 mAh

C’est un téléphone dédié à la communication, avec les appels et les sms. A ce niveau, il était fonctionnel et j’adorais son design avec sa coque colorée.

Maintenant, il fallait faire avec les contraintes technologiques, dont le bel écran monochrome de 5 lignes et non 5 pouces... Et oui, pas de technologie ips, ni amoled non plus. De plus, la mémoire est limitée à une liste 50 contacts. Il fallait alors bien les choisir. Du coup, j’avais toujours avec moi un petit carnet papier avec tous les numéros de mes contacts.

 

D’ailleurs, j’avais complètement oublié qu’il y avait des antennes externes, voir rétractables sur les téléphones portables.

Les téléphones mobiles servaient essentiellement pour les appels et les sms. Il n’y avait pas d’appareil photo intégré, donc pas de selfie (impensable aujourd’hui !).

Cela me rappelle le clavier avec lequel je tapais des messages en “langage sms”. On devait tout faire rentrer dans les 160 caractères, car les sms étaient décomptés du forfait. Les messages étaient parfois difficiles à décrypter, comme avec les : slt, koi29, pa2koi, pk, wasaa !, cu...

 

A côté, il y avait le plaisir de jouer au Snake pendant des heures, pour essayer de battre le record. Sinon, je changeais souvent ma sonnerie monophonique. Maintenant, dans on entourage, on utilise plus le mode vibreur.

Ce téléphone m’a servi très longtemps et des avancées majeures dans la téléphonie mobile m’ont fait changer de modèle. C’est sûr que maintenant, il me servirait uniquement de téléphone de secours.

 

En 2003, je suis en effet passé sur le Nokia N-Gage :

 

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C’était pour moi une révolution, un avant-goût des smartphones ! Un téléphone, avec un écran couleur, qui sert aussi de console portable !

Des caractéristiques impressionnantes :

- Écran : couleur rétroéclairé / TFT, 4 096 couleurs

- Taille en mm : 35 × 41,5

- Résolution : 176 × 208 pixels

- CPU : 104 MHz

Il était même capable de lire des vidéos 3gp et lire des mp3. Je me rapelle avoir converti de nombreuses vidéos, pour les visionner sur ce téléphone. Malgré la mauvaise qualité, j’en visionnais constamment tellement j’étais impressionné ! J’avais envie de tout essayer et l’exploiter au mieux, avec les jeux. J’en étais vraiment ravi.

Cela dit, peu de temps après, cette joie s’est estompée rapidement. Malgré tous ses atouts, il possède un inconvénient majeur lorsqu’on l’utilise comme téléphone. Il fallait en effet tenir le téléphone par la tranche lors d’une conversation téléphonique... Les regards se tournaient systématiquement vers moi.

En plus de cela, il y avait peu de jeux et une autonomie faible. J’ai trouvé dommage que ce concept soit si peu abouti. J’ai donc rapidement changé de téléphone portable.

 

C’est là que j’ai acquis mon 1er smartphone en 2004, le Sendo X :

 

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Techniquement complet :

  • Système : Symbian OS
  • Coque finition carbone
  • Mémoire : 64 Mo (RAM)
  • Processeur : 120Mhz ARM 9
  • Affichage : Ecran LCD 2,2" Transflectif rétro-éclairé (176 x 220 pixels, 65000 couleurs)
  • Appareil photo : Appareil photo numérique 0,3 MPixels, 640 x 480 avec flash et retardateur
  • Extension : MMC/SD
  • Connectivité : BlueTooth, USB et infrarouge
  • Réseau : Téléphone 900 / 1800 / 1900 MHz GPRS
  • Lecture de MP3 et vidéo
  • Batterie : Lithium-ion 1050 mAh
  • Dimensions (LxHxP) : 110,5 x 48,5 x 22,8 mm
  • Poids : 120 grammes

Ce sont ses caractéristiques qui m’ont fait prendre ce modèle, très bien équipé. De plus, il était basé sur l’OS Symbian de Nokia, ce qui était rassurant pour les applications et le suivi logiciel.

A l’utilisation, l’écran était très agréable et l’interface fluide. La navigation dans l’interface était assez aisée  avec le bouton central. Surtout, la possibilité d’installer des applications donnait une une vraie plus-value par rapport à un téléphone classique.

Au départ, seule la partie photo laissait à désirer (640 x 480), avec les vidéos (176x144).

Au fur à mesure, de nombreux points négatifs sont apparus. Tout d’abord, des bugs d’applications nécessitaient un redémarrage du téléphone.
Ensuite, il y eut un manque de réactivité de l’interface et l’autonomie assez faible. De la part de la marque Sendo, les mises à jour du firmware se faisaient attendre.

Le plus gros problème fut le micro, car les interlocuteurs ne m’entendaient pas. J’avais eu des appels importants où j’entendais mon interlocuteur sans pouvoir lui répondre... Il me semble que c’était d’ailleurs un problème généralisé. J’ai essayé de le réparer et ce fut un échec. Je l’ai alors directement rangé dans un tiroir.

Au final, malgré un très belle promesse technologique, ce modèle a été une grosse déception. Le suivi au niveau logiciel a été absent et ce téléphone présentait un défaut matériel.


Pour le remplacer, j’ai acheté le Sony Ericsson P990i sous Symbian UIQ 3, en 2006 :

 

 

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Ses caractéristiques :

  • Écran : Couleur, TFT 256 000 couleurs, 240 x 320, 2.8 pouces
  • Mémoire interne : 60 Mo
  • Mémoire RAM : 64 Mo
  • Dimensions : 114,00 x 57,00 x 25,00 mm
  • Batterie amovible : Li-Po 950 mAh
  • Poids : 155,00 g

Je l’ai choisi surtout pour son mélange écran-tactile et clavier physique azerty. Malgré la sortie de l’iPhone, j’ai préféré conserver le clavier et l’OS Symbian. J’étais assez réticent par rapport à un téléphone 100% tactile, même multi-touch. De plus, il y avait d’autres critères rédhibitoires comme le manque de 3G, la batterie non amovible et aucun port pour cartes mémoires.

J’ai donc choisi le smartphone le plus complet. Pour le P990i, j’y trouvais un gros gain dans la saisie de texte, tout en ayant un grand écran. L’ensemble était très ergonomique à utiliser. Cette fois-ci, j’avais un smartphone possédant un véritable appareil photo avec autofocus. J’étais donc vraiment satisfait.

Maintenant, au niveau des points négatifs :

  • L’usage du stylet peu pratique
  • Le smartphone est très épais
  • Le poids
  • Par rapport à Symbian 6, cette version UIQ 3, présentait moins d’applications.

Dans l’ensemble, j’en étais satisfait. Je l’ai par conséquent gardé de nombreuses années. C’est d’ailleurs celui que j’ai eu le plus longtemps, malgré les tentations de nouveaux smartphones.



En parallèle, l’OS android se développait, avec un Android Market proposant de nombreuses applications. Les smartphones étaient bien plus puissants, plus compacts que mon p990i et avec de plus grands écrans.

En 2011, 2 smartphones m’attiraient : le Samsung Galaxy S2 et le HTC Sensation.

Le Samsung Galaxy S2 était très puissant, mais j’ai préféré le design du HTC Sensation, avec une  coque en aluminium.
 

 

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Rappel des caractéristiques :

  • Ecran : 4,3 pouces
  • Nombre de couleurs : 16 millions de couleurs (impressionant par rapport aux 65000 couleurs du Sendo X)
  • Mémoire interne  : 1 Go
  • Mémoire vive : 768 Mo RAM
  • Système d'exploitation (OS) : Android 2.3 (Gingerbread)
  • Processeur : Qualcomm MSM8260 Snapdragon - 1.2 GHz
  • Dimensions : 126 x 65 x 11,3 mm
  • Poids : 148 grammes

Bien que j’étais un adepte du clavier physique, j’ai cette fois-ci été convaincu par le 100% tactile. Je pouvais naviguer très rapidement dans les menus, l’ensemble étant intuitif. J’étais content de ce changement.

Quand j’ai reçu le téléphone, la chose qui m’a surpris était la taille de la boite :

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Trés petite et peu d’accessoires. On a l’essentiel.

A côté, pour le p990i, cétait ça :

 

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Du coup, même les boites ont connu une évolution.

Découvrant l’interface Android, Symbian me paraissait beaucoup moins agréable à utiliser. J’aimais la possibilité de personnaliser ses pages d’accueil, en profitant des nombreuses application de l’ Android Market. Aussi, la navigation sur Internet était fluide et profitait absolument du tactile.

Je ce que je retiens des bons points :

  • La qualité des matériaux
  • Une interface fluide et ergonomique
  • La qualité des photos (pour mon usage)

Pour les points négatifs :

  • L’autonomie faible (j’avais pris une seconde batterie)
  • La mémoire interne de 1Go
  • Les problèmes de détection du wifi, selon la prise en main du smartphone

 

Une autre chose négative est le suivi logiciel. En effet, le téléphone est resté sous Ice Cream Sandwich, alors que d’autres passaient sous Jelly Bean.
Dans l’ensemble, le smartphone était fonctionnel et plaisant à utiliser, malgré ses points faibles.

C’est alors qu’en 2012 sort le Nexus 4, avec un très bon prix. Il y eut alors une rupture de stock très rapide. C’est en 2013, lors de la seconde vague des commande, que j’ai saisi l’opportunité de l’acquérir. Je me rappelle que de nombreuses personnes dans mon entourage le voulaient et attendaient vivement des stocks.

 

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Caractéristiques :

  • Écran : 1280x768, 4,7 pouces, IPS
  • SoC : Qualcomm Snapdragon S4 Pro APQ8064
  • Processeur graphique : Adreno 320
  • Mémoire interne : 2 Go de RAM
  • Espace de stockage : 8 Go ou 16 Go de mémoire flash
  • Batterie : 2 100 mAh
  • Poids : 139,5 g

Ce qui m’a donné l’envie de changer sont :

  • Un tarif attractif
  • Les composants d’un “haut de gamme”, surtout les 2Go de RAM
  • Le suivi logiciel de Google (contrairement à mon HTC Sensation)

Je suis donc passé outre mes réticences par rapport à la batterie inamovible et l’absence de port de carte mémoire.
Aux premiers abords, j’ai adoré l’esthétique du nexus 4, surtout le dos. La prise en main était très bonne, avec son gabarit moyen.
Ses principaux points positifs :

  • Très fluide, même avec du multitâche
  • Son rapport qualité/prix
  • Les mises à jour

Points négatifs :

  • Absence de la 4G
  • Chauffe du téléphone
  • L’appareil photo moyen
  • L’autonomie faible
  • Le manque de port de carte mémoire

Je comptais l’utiliser en attendant de trouver un nouveau modèle avec la 4G, un port microSD et une meilleur autonomie. Cela n’était pas une priorité, comme le téléphone était encore performant.

Pourtant, par inattention, un événement dramatique est arrivé. Mon Nexus 4 a connu une chute et est tombé directement avec l’écran face au sol. Je vous laisse deviner le résultat...

La face avant était complètement fissurée et l’écran ne fonctionnait plus. J’ai alors acquis rapidement comme smartphone le Moto G 4G.

 

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Ses caractéristiques :

  • Ecran : 4,5 pouces, 1280x720
  • Processeur (CPU):  Qualcomm Snapdragon 400 à 1,2 GHz
  • Chipset graphique (GPU) : Adreno 305
  • Mémoire vive (RAM) : 1 Go
  • Mémoire Interne : 8 Go
  • Batterie : 2070 mAh
  • Dimensions : 129.9 x 65.9 x 11.6 mm
  • Poids : 143 grammes

Le premier Moto G avait eu de bons retours, et c’est pourquoi j’ai pris le Moto G 4G. L’ensemble de ses caractéristiques me semblait assez performant, avec un bon rapport qualité/prix.

Déjà, en comparaison de mon Nexus 4, je restais sur du Android Stock, ce qui ne me dépaysait pas. Le gabarit était équivalent et j’avais surtout la 4g et un port microSD.

Au départ, le smartphone était fluide, et au fur et à mesure que j’ai installé des applications, jai ressenti des ralentissements. En lançant plusieurs applications, la différence de performance se fait ressentir avec le Nexus 4, qui a 2Go de RAM.

Maintenant, ce je que j’apprécie sur le Moto G 4G :

  • La présence de 4G
  • Le port microSD
  • Le prix par rapport aux caractéristiques

Au niveau des points faibles :

  • La mémoire interne de 8 Go
  • L’appareil photo, qui reste suffisant pour des photos ponctuelles
  • Les performances en recul par rapport au Nexus 4 en multitâche

Le Moto G 4G reste pour mon usage un smartphone de transition. Il convient parfaitement pour un usage assez basique, sans trop de multitâche.

 

Depuis, le début de mon histoire avec les smartphones, il y a eu de nombreuses évolutions de mon point de vue et surtout technologiques.

 

Ce qui m’a marqué dans les évolutions :

  • L’usage des smartphones : C’est devenu plus qu’un simple outil, offrant constamment des nouvelles fonctionnalités
  • L’arrivée du tactile : c’est vraiment un point qui a modifié mon avis sur les claviers physiques. Auparavant, je tenais absolument à ce type de clavier, par habitude et avec la sensation du “retour” des touches physiques. Maintenant, avec les claviers type “swype”, les messages sont rapidement saisis.
  • La batterie inamovible : Ce point était rédhibitoire pour moi. Il me fallait une batterie amovible, pour pouvoir la changer, si l’autonomie avait trop diminuée, ou pour avoir une batterie secondaire. Maintenant, vu les rapides évolutions dans le mobile, la batterie inamovible n’est plus un problème pour moi.
  • L’emplacement microSD : Pour moi, c’était un point primordial dans le choix d’un smartphone. Cela dit, les mémoires internes augmentant perpétuellement, c’est aujourd’hui pour moi moins indispensable. Après, c’est un atout non négligeable qui peut faire la différence dans le choix d’un smartphone.

 

Les critères pour mon prochain smartphone :

  • Avant tout, le smartphone doit être fonctionnel, efficace, sans pour autant être le plus puissant
  • Un bon suivi logiciel pour les mises à jour
  • Une bonne autonomie
  • Une interface assez ergonomique
  • Je prends beaucoup en compte les tests publiés sur Internet, ainsi que les retours des utilisateurs dans mon choix

 

Une des fonctionnalités qui me parait intéressante dans le long terme est le pico-projecteur intégré :

 

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On pourrait alors afficher un clavier ou interface tactile sur une table, pour étendre encore l’usage des smartphones. En espérant que l’évolution des smartphones nous réserve encore de nombreuses surprises.

Modifié par kinom
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Bonjour à tous ! Alors pour ma part, je m’appelle Paul Badeuille, alias Boogy et je suis de Calais (tout en haut, là où il fait froid, oui). J’ai 17 ans et suis actuellement en Terminale S, option Sciences de l’Ingénieur. Je compte après mon BAC m’orienter vers une école d’ingénieurs en informatique. Je suis passionné de programmation, d’impression 3D (j’ai construit ma propre imprimante) mais aussi d’Android. Je vais vous raconter mon histoire de téléphonie, et même si je ne suis pas très vieux, j’ai déjà pas mal de choses à dire, et vous remarquerez que j’aime assez le changement…
 
Tout a commencé à mes 6 ans, en 2004, après des soucis familiaux (séparation de mes parents en l’occurrence), j’ai eu à mon anniversaire mon premier téléphone : Samsung X100. Pour l’époque il était pas mal, il me servait seulement à communiquer avec ma mère quand j’étais chez mon père, et vice-versa. Il était accompagné de cartes prépayées Bouygues, et même si à l’époque tout était payant, même les SMS, c’était amplement suffisant, même si parfois tout mon crédit passait dans le WAP (la vieille époque de « internet sur téléphone »  ;)). Je me souviens même avoir piqué une crise parce que un des seuls jeux que j’avais, s’était supprimé (enfin, j’ai dû le supprimer moi-même je pense).

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Ensuite, en 2007 (si vous avez bien compté, j’avais 9 ans), j’ai voulu changer pour avoir plus de fonctionnalités, appareil photo (oui, on appelait ça comme ça même s’il y avait que 2,1 mégapixels), Bluetooth ou encore infrarouge (utilisé pour envoyer des données, maintenant c’est surtout utiliser sur portable pour éteindre les télés lol). Toujours avec mes cartes prépayées, j’ai choisi le Sony Erricson (à l’époque la marque n’était pas encore Sony) Z710i, édition RipCurl. Les téléphones à clapet étaient très tendance à l’époque, vu que le tactile n’existait pas encore. C’était un très bon téléphone, très intuitif.
 

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Je l’ai gardé jusqu’en 2009, où mes années collège arrivèrent. J’ai opté pour le Samsung F480, en réalité j’ai pris l’ancien de mon beau père, qui ne s’en servait plus. J’ai été assez déçu, et même si c’était le tout début de l’ère du tactile, il s’est avéré que c’était très instable. Même si c’était une nouvelle façon d’envoyer des SMS en tapant l’écran, je n’ai pas trop adhéré à ce téléphone.
C’est en 2010 que les choses sérieuses ont commencé. J’ai eu mon premier smartphone (ce mot était presque une révolution il y a 5 ans) sous Android. Après une semaine de réflexion entre le LG GW620 Eve et le Samsung Galaxy Spica, j’ai choisi ce dernier car il bénéficiait d’une version d’Android plus récente : 2.1 Eclair. C’est avec ce portable que j’ai pris goût à l’univers d’Android. J’ai commencé quelques temps après par le rooter puis par changer de ROM. Je me souviens d’une ROM qui m’a marqué, la SpicaGen MOD, dont j’avais fait un tuto sur ce forum. J’avais pu passer mon Spica en version 2.2.3 d’Android, Froyo. C’est avec ce téléphone que j’ai eu mon premier forfait, un forfait bloqué chez Universal Mobile (Bouygues), avec 500Mo d’internet, ce qui était suffisant, il me permettait de surfer sur internet aisément. C’est aussi avec ce téléphone que j’ai découvert les premiers jeux Android, Doodle Jump par exemple. Bon, j’avoue c’est un peu ringard maintenant. Il est devenu assez instable et commençait à bugger, notamment à cause des flashs répétés je pense, j’ai donc décidé de changer.
 

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C’était début 2012, après hésitation entre le Samsung Galaxy S2 et le Sony Erricson Xperia Mini Pro, j’ai opté pour le Samsung. Et c’était franchement un très bon produit haut de gamme. Très bon appareil photo et processeur rapide. Il y avait une très grande communauté de développeurs, ce qui lui permettait d’avoir des kernel pour le booster et des ROMs géniales, je me souviens de Resurrection Remix, qui était ma préférée. C’était un pur bonheur. J’ai pu bénéficier de ce téléphone un peu moins cher en changeant pour un forfait non-bloqué, un Eden Relax, toujours avec 500Mo d’internet.
 

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En 2013, mon expérience d’Android pure a commencé. J’ai acheté le Google Nexus 4 sur internet. Dès la réception, je l’ai rooté (bon, j’ai failli commettre l’irréparable et le bricker, mais bon l’erreur est humaine comme on dit) pour après pouvoir aisément changer de ROM en sauvegardant facilement toutes les données. Ce téléphone était un vrai bijou, tous mes amis en étaient presque fascinés. Il supportait le chargement Qi, j’ai même acheté la station induction de Google. Très vite après est apparu le Nexus 5, fin 2013. J’ai pu revendre mon Nexus 4 à bon prix et m’acheter le Nexus 5. J’ai en même temps changé pour un forfait Sensation 3Go, toujours chez Bouygues, afin de profiter de la 4G. Celui-ci, j’ai attendu 3-4 mois avant d’avoir le courage de le rooter, car il tournait très bien sans le root. Je l’ai rooté sans en changeant la ROM, juste pour pouvoir profiter du framework XPosed et du module de personnalisation Gravity Box. Pour accompagner mon Nexus 5, à la sortie d’Android Wear j’ai acheté la LG G Watch, que je possède toujours à l’heure d’aujourd’hui. Les deux Nexus que j’ai eus ont changé ma perception d’Android surtout que j’ai pu profiter tout le temps des dernières versions d’Android, jusque Lollipop 5.0 juste avant de revendre mon petit Nexus 5.
 

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Ce Nexus 5, je m’en suis séparé en Novembre 2014 suite à l’achat d’un LG G3 en promotion, chez Auchan. Et franchement ça a été ma plus grosse déception. Peu de temps après l’achat, il a commencé à avoir des ralentissements, puis des redémarrages, qui sont devenus de plus en plus fréquent à un tel point qu’à des moments je devais attendre presque 1h pour pouvoir m’en servir de nouveau. Pendant cette période, j’ai changé de forfait, suite à une hausse du prix du forfait de Bouygues si jamais je ne me réengageais pas. Je suis passé chez Sosh (c’est plus facile à lire qu’à prononcer). Avec un forfait à 5Go d’internet et tout illimité, j’en étais très content. Je n’ai pas gardé longtemps ce forfait car je suis passé chez Free pour ma ligne fixe, j’en ai donc profité pour prendre le Forfait Free au tarif réduit pour les abonnés Freebox. Tout illimité avec maintenant 50Go d’internet. Bon, bien sûr je ne les atteins pas, mais quand je me dis qu’avant on avait que 500Mo, voire rien, c’est une très grande évolution. Revenons-en à mon G3. Du fait que j’en avais plus qu’assez de ce smartphone, je l’ai tout simplement revendu dans un dépôt-vente qui s’est chargé de l’envoyer en service après-vente (toujours sous garantie) pour corriger le soucis de redémarrages et de latences avant de le revendre.
 

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En attendant mon prochain smartphone, qui devait être le Nexus 5X, j’ai pris l’ancien Galaxy S3 (retour en arrière, oui) de ma mère. Mais la batterie était presque HS, je ne tenais pas du tout la journée. Et c’est là que j’ai honte, j’ai dû prendre en dépannage, un iPhone 4S la seule chose qui traînait chez moi, gagné à un concours (heureusement, je n’aurai pas pu psychologiquement acheter cette marque). Bon j’ai eu 3 mois d’expérience sous iOS et je n’ai pas réussi à m’y faire (je n’espère pas être renié à cause de ce « smartphone »).
 

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A l’annonce du Nexus 5X, smartphone que je souhaitais m’acheter, j’ai été très déçu par son prix en Europe, et du fait qu’il ne soit pas au prix de l’ancien Nexus, j’ai tout simplement décidé de ne pas l’acheter, et je me suis tourné vers un Honor 7 Mystery Grey, que je possède aujourd’hui. Même s’il n’a pas été rapide à recevoir, cela reste mon smartphone Android préféré, tout d’abord avec la surcouche eMUI qui offre de superbes fonctionnalités, mais aussi par son appareil photo de haute qualité ainsi que le bon écran mais aussi par les fonctions qu’il propose, surtout par le capteur d’empreinte très rapide et la touche intelligente, dont je me sers au quotidien (la fonction prise rapide est juste superbe). De plus, les mises à jour sont assez fréquentes. Je ne regrette pas mon choix, et en y repensant, je le préfère largement par rapport au Nexus 5X. Je trouve que toutes les nouvelles fonctions qui sont implantées au fil du temps rendent le smartphone de plus en plus parfait et « convivial » lors de l’utilisation. Je n’ai qu’une chose à dire : merci Honor.
Je participe tout de même à ce concours, même si j’ai déjà un Honor. De nombreux proches et membres de ma famille m’envient vis-à-vis de ce smartphone qui le trouve parfait, et cela me ferait très plaisir de pouvoir avoir un super Honor 7 ou un Honor 4X que je pourrai offrir à l’un de mes proches. Pour finir, dans toutes ces années, je n’ai brisé aucun écran, j’ai toujours été très soigneux envers mes téléphones, et même si je les ai tous vendus j’en garde un très bon souvenir, et je compte profiter longuement de mon Honor 7 et pourquoi pas des prochains Honor !
 

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Je vous remercie de m’avoir lu, et espère avoir été le plus complet dans mon expérience dans la téléphonie. Vous pouvez bien sûr utiliser mon nom/prénom ou pseudo, comme bon vous semble, si jamais vous souhaitez citer mon post.

Modifié par Boogy
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La théorie de l'évolution selon Steve Jobs ?

 

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Comme vous pouvez et vous allez le constater, j'ai testé à peu près tous les types de téléphone. Normaux, à clapet, coulissant avec ou sans clavier, semi tactile, tout tactile... Il manque sur cette photo mon tout premier téléphone, ainsi qu'un Motorola vert pomme à clapet, que j'ai eu avant mon Sagem.

 

1. Un souvenir impérissable, le Philips Azalis 238.

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J'ai démarré ma longue et tumultueuse histoire dans la téléphonie mobile alors que j'avais 16 ans (cela fait donc 15 ans, oui oui bravo messieurs dames!) J'avais vu ce téléphone en magasin plusieurs fois et son design m'avait beaucoup plu, notamment sa couleur, qui tranchait avec la monotonie des Nokia qu'on voyait fleurir un peu partout. Niveau autonomie, ben 10 bons jours, voire plus. Je ne parlerais pas des fonctionnalités puisqu'à l'époque un téléphone servait... à envoyer des sms (limités alors à 160 caractères, d'où le langage SMS :P) et à téléphoner surtout, avec un poil de surf, mais on en était alors qu'aux balbutiements.Pas de musiques, pas de vidéos pas de photos. Je me souviens aussi qu'il était assez lourd en main, mais je ne lui en tiens plus rigueur car certains téléphones actuels sont encore plus lourds que lui. J'ai gardé ce téléphone pendant 5 ans ( !!! ). Un merveilleux souvenir.

 

2. Changement de design : le motorola v360.

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Il était temps pour moi de changer de téléphone. Nous sommes en 2005. Pour moi ça a été une révélation de ce que la téléphonie allait devenir : bien plus qu'un simple téléphone, il s'agissait là d'un véritable lecteur multimédia : Il avait un écran couleur, faisait appareil photo (et attention l'appareil photo faisait aussi des vidéos !), on pouvait surfer en EDGE, écouter de la musique, la radio. Et chose à ne pas négliger : il disposait d'une mémoire interne de 5Mo que j'avais pu compléter par une micro SD de 512Mo (ce qui était largement suffisant pour stocker à l'époque!). Bien évidemment la qualité de tout ceci serait de nos jours obsolète, et largement même, mais pour l'époque..waw. De plus, encore une fois c'est le design qui m'a appâté bien avant ses capacités. Son clapet, sa forme et sa couleur tranchaient largement avec mon précieux mais vieillissant Azalis. Malheureusement, je n'ai gardé ce téléphone que quelque mois car je l'ai perdu dans le train et le temps que je retourne en cabine, il avait disparu (victime de son succès je présume, car il plaisait !).

 

3. La révolution du multimédia en marche : le Sagem MY700X.

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Nous sommes en 2006 et il fallait absolument que je remplace le téléphone que je venais de me faire voler (heureux hasard !!!). Un téléphone vient de sortir : le Sagem my700x. Je l'ai découvert en magasin. Cette fois ci ce n'est pas son design qui m'a plu, mais ce sont ses capacités : un appareil photo bien supérieur au Motorola (1,3 Mpixels si je me souviens), un écran avec plus grand, avec plus de détails, plus de palettes de couleurs, on pouvait surfer en EDGE, écouter de la musique, la radio... ! Sa mémoire interne était de 30 Mo et je l'avais étendue par une miniSD que j'ai toujours d'ailleurs :P. Et en plus de ça, j'avais constaté lors de l'essai qu'il était assez léger, et surtout vraiment fin par rapport au Motorola. Ce téléphone venait de sortir et était en tout points supérieur technologiquement au Motorola. De plus son design collait parfaitement avec le côté technologie de ce Sagem. Les menus étaient un peu alambiqués et des usines à gaz mais c'était le prix de la technologie. Niveau autonomie, je ne saurai plus dire combien de temps elle durait, mais si ça ne m'a pas marqué c'est qu'elle devait être satisfaisante ! J'ai gardé ce téléphone pendant un bon moment !

 

4. Une autre façon d'écrire, de naviguer : le LG KS 360.

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Nous sommes quelque années plus tard, mon Sagem commence à sérieusement prendre de l'âge mais fonctionne toujours (d'ailleurs tous mes téléphones fonctionnent encore très bien :P ou presque enfin vous verrez pourquoi "presque" plus tard...). Entre temps je suis devenu accro aux sms plutôt qu'aux appels. De nouveau genres de téléphones circulent sur le marché depuis un an. Il s'agit de téléphones avec un CLAVIER (oui un véritable clavier, comme sur les ordinateurs!). C'est cette particularité ainsi que le design et la couleur (ce téléphone était disponible en plein de couleurs différentes : bleu rouge gris orange etc...) qui ont fait chavirer mon cœur. Quelle joie de pouvoir écrire les nombreux sms sur un clavier, à l'instar d'un ordinateur ! En plus, quelle ergonomie ! Tenue en main parfaite, les menus étaient clairs et l'écran agréable à regarder. Niveau capacité ? Un appareil photo 2Mpixels, des mails (!), un meilleur son, un grand écran, épaule par une (petite !!!) mémoire interne de 15Mo, mais extensible via microSD (quelle joie d'avoir une mémoire extensible sur un téléphone!), une navigation internet améliorée. Là encore la batterie ne m'a pas marqué non plus elle devait être de quelque jours je pense. Le seul bémol que j'ai trouvé en comparaison de mon Sagem était que le LG était légèrement plus lourd (mais raisonnable quand même à la vue de ce que le LG me proposait mais surtout plus gros (normal vu le clavier qui coulissait). Je n'ai gardé ce téléphone qu'1 an car le clavier coulissant s'est abîmé vite et coinçait par moment..

 

5. La révolution de l'interface Homme/machine : le HTC Tattoo.

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Nous sommes désormais en 2010 ! On entend de plus en plus parler d'un nouveau genre de téléphones : les smartphones. Un concentré de technologie, une interface qui ne ressemble plus aux menus d'avant. Des écrans personnalisables. Incroyable. Il y a quelque années je frissonnais à l'idée de ce que pourrait devenir un téléphone et maintenant nous sommes en plein dedans! Et surtout une nouvelle technologie, le tactile. Tu veux aller voir tes photos? Ben tu appuies sur l’icône et t'y es. Néanmoins cela me faisait un peu peur. Je ne saurais trop expliquer pourquoi. Peut être la peur que ça ne fonctionne pas bien, ou de faire une bêtise. Je suis tombé sur le Tattoo un peu par hasard en boutique Orange. Je voulais changer mon téléphone qui ne coulissait plus correctement. J'ai essayé plusieurs téléphones, abasourdi par le tactile nouvellement arrivé sur le marché. Puis est venu le tour du Tattoo, un semi tactile. Seules quelque fonctions étaient disponibles en tactile. Exemples : la saisie des numéros, ou bien la saisie des sms (le téléphone pouvait basculer! incroyable). Ce HTC était pile ce qu'il me fallait. De plus son design, ses couleurs et le petit bonhomme Android au dos m'ont charmé. Et ses caractéristiques techniques ont achevé le boulot : un appareil photo de 3Mpixels, un graaaand écran avec de magnifiques couleurs, et une mémoire interne de 512 Mo, extensible par une microSD... Il n'était pas très grand, pas épais. A l'usage, le téléphone pouvait chauffer un peu mais ça restait supportable. Ce téléphone m'a laissé encore un bon souvenir, et la batterie durait 2-3 jours. J'ai gardé ce téléphone environ 2 ans.

 

6. Le maitre des réseaux sociaux : le HTC ChaCha.

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Devenant accro à un certain réseau social, et étant plus que satisfait de mon HTC, le HTC ChaCha est venu à moi comme une évidence. Il s'agissait d'un téléphone blanc, incurvé au dos (donc prise en main TERRIBLE), avec un clavier physique surmonté d'un bel écran aux nombreuses couleurs et lumineux, possédant un appareil photo de 5Mpixels, restituant un son vraiment bon, et bénéficiant d'une touche spécialement programmée pour publier ce qu"on fait/écoute/prend en photo/vidéo sur notre réseau social préféré en un clic ! Cette fonction n'était vraiment pas gadget je l'utilisais énormément! J'avais préféré abandonner temporairement ma voie sur le tactile pour pouvoir partager plus facilement avec mes amis. Je n'ai vraiment pas été déçu par ce téléphone, hormis sur deux points : la batterie dont je n'attendais rien (elle tenait 1 jour et demi), sachant ce que me proposait ce Chacha ; et enfin la mémoire ROM du téléphone : 512 MO pour garder des photos ou des vidéos qui commencent à prendre du poids ça commençait à faire un peu juste, même si on pouvait encore accroître cette mémoire interne par une carte microSD. J'ai gardé ce téléphone 1 an et demi.

 

7. Mon premier tout tactile : Le Wiko Cink Peax.

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Nous sommes début 2014, je désire changer mon ChaCha qui fonctionne encore très bien mais je veux essayer absolument un tactile! Je vais donc surfer sur internet et je tombe sur ce Cink Peax de chez Wiko. Marque inconnue au bataillon pour moi. Les caractéristiques sont alléchantes : super grand écran (par rapport à mon ChaCha), belles couleurs, apparemment pas trop lourd, sous Android 4, un capteur photo de 8Mpixels 4Go de mémoire interne extensible par microSD, et surtout le prix : je ne l'ai payé que 130 € chez Cdiscount. Je l'ai commandé illico. Je vous vois derrière vos écrans arrêtez de nous marrer ! Car oui, j'ai fait une ÉNORME boulette. Alors certes les photos étaient jolies, les vidéos aussi, et le son passable...Mais le reste... Quelle déception ! La batterie ne tenait même pas un jour, le téléphone chauffait, la peinture de la coque plastique se décolorait, les boutons étaient de mauvaise qualité et le software comportait plein de bugs et ramait mais à un point ! J'aurais dpu faire gaffe et m’intéresser de plus près au processeur, à la ram, aux MAJ... J'ai décidé d'attendre quelque mois pour vois si des mises à jours pour les bugs allaient arriver. EN VAIN. Wiko => PLUS JAMAIS CA (comme dirait un certain chanteur). Donc je n'ai utilisé ce téléphone que 6 mois !!!!!

 

8. Ceci est une révolution ? Apple Iphone 4S.

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Je suis chez Bouygues, en janvier je n'ai pas bénéficié du renouvellement pour mon Wiko (heureusement !!!). Une super promo avec un peu de forcing et j'ai pu me diriger vers le côté obscur de la Force. Je lorgnais sur Apple et son Ios (je trouvais que Android devenait fouillis) depuis un moment à vrai dire mais c'était cher. Quand j'ai eu cette occasion, pas la peine de vous dire que j'ai sauté dessus ! Alors certes l'écran est largement plus petit que celui du Cink Peax. Mais c'est le seul (? ah non, nous verrons pourquoi). Un hardware solide, développé avec un software optimisé. Ce 4S est miraculeux. Oui Apple c'est cher, mais la qualité est là aussi, et on a aussi le droit de faire les fines bouches du coup ! :P. Plus de menus partout, tout est sur les écrans. Un appareil photo devant, un derrière. Un son correct. En autonomie? Je tiens environ un jour. Par contre et c'est là que je vais râler. Pourquoi nous proposer des téléphones avec 16Go de ROM NON EXTENSIBLE. Puis IOS 7 c'était bien, le 8 aussi, mais le 9 n'est plus du tout optimisé pour le 4S du coup ça bugouille et ça rame. Il est donc temps de changer, surtout que je ne supporte plus ce petit écran !

 

9. Le changement ? C'est maintenant !!!

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Vous l'aurez compris, il est grand temps de changer de téléphone. Je voulais rester chez la pomme. Prendre un Iphone 6, nous sommes en Aout. Je navigue sur la toile. Puis je tombe sur un article annonçant l'arrivée d'un téléphone, le Honor 7. Les caractéristiques annoncées sont vraiment terribles (je fais attention à tout depuis ma mésaventure chez Wiko...), aussi bien le Harware que le software!!! Et quelles innovations (tant aussi bien que sur l'exploitation du capteur d'empreintes que sur le bouton intelligent par exemple) ! J'ai attendu le mois de septembre, pour avoir des tests de professionnels et aussi des avis d'utilisateurs... Et apparemment c'est vraiment bon. Seul bémol : certains bugs et Honor n'a pas une bonne réputation niveau MAJ. Je décide donc d'attendre jusqu'en décembre (car j'ai jusqu'à fin décembre pour me décider), pour voir si ces bugs sont réglés et si Honor décide de se racheter une conduite à ce niveau. J'ai beaucoup d'espoirs en ce Honor 7 ! 

 

Pour conclure, je dirais que la pomme, tout aussi bonne qu'elle puisse être, n'est pas le summum de l'évolution de la téléphonie. Il n'y a qu'à voir mon témoignage pour s'en apercevoir. Il n'y à qu'à voir aussi par exemple, comment Honor avec le H7 met un grand coup de pied dans la fourmilière en proposant des innovations qui doivent faire rougir certains développeurs. Tant est si bien que j'en suis devenu à sérieusement hésiter à continuer chez Apple ou à m'aventurer chez Honor.

Modifié par Fabdroïd
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Bonjour !!

 

Toutes les bonnes choses ayant une fin, je vais clore cette discussion.

 

Le concours se terminait à midi aujourd'hui.

 

Je remarque que certains ont modifié leur post après midi aujourd'hui. (@@fabdroid , @ par exple ;-) )

 

A Honor de juger de la nullité de la publication ou non du coup.

 

Bonnes chances à tous !

 

Bonne fin de dimanche.

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  • 2 weeks later...

Bonjour à tous,

 

Le moment que vous attendez-tous est tombé !

 

Tout d'abord, un grand BRAVO à tous pour vos super témoignages, tous très intéressants. Vous pouvez retrouver notre article avec vos témoignages à cette adresse.

 

Dans un soucis d'impartialité, une personne de Frandroid s'est joint au jury dans le choix des gagnants. Nous avons apprécié votre humour :) et le choix a été très très difficile. Nous avons hésité longtemps avant de faire un choix définitif.

 

Les deux gagnants ont été choisis pour leur avis bien ordonné, ainsi que pour leurs bonnes idées sur les critères de choix de leur futur smartphone.

 

Les deux gagnants sont..................

- @@kinom qui remporte un Honor 7

- @@Mélissaa qui remporte un Honor 4X

Merci de m'envoyer vos coordonnées postales, email et numéro de téléphone par message privé.

 

Félicitation à eux !!! 

Et encore bravo à tous pour vos témoignages.

 

A bientôt pour un nouveau concours :)

Modifié par Honor
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  • 11 months later...

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